La presse en parle
M-Peluches fabricant de peluches
Voici mes différents articles de la presse.
Journal de TF1
Reportage sur le journal de TF1 de 13h du jeudi 20 décembre 2018.
A la rencontre de Marie-Jean Simon, peluchière d'Argenton-sur-Creuse.Articles dans
"La nouvelle république"
Marie-Jean Simon présente ses créations artisanales en tissu et en peluche tout le week-end, au marché de Noël franco-allemand.
L'exiguïté de la pièce transforme le petit atelier de confection en véritable capharnaüm, mais Marie-Jean Simon y retrouve facilement ses marques. La jeune femme a toujours travaillé dans les peluches et cette expérience lui permet de gérer au mieux sa propre entreprise, lancée à son domicile du quartier du Merle-Blanc.
La percée des modèles bio
« J'ai travaillé dans les établissements Jemini, du Mans, et Blanchet, de Chabenet, avant de me mettre à mon compte », résume cette créatrice de jouets en matières douces. Spécialisée dans les doudous en tissu, elle réalise également des animaux en velours et chaque pièce peut être personnalisée par une broderie.
A ces articles réalistes ou fantaisistes s'ajoutent des réparations. Beaucoup de personnes conservent religieusement le doudou de leur enfance, transmis parfois de génération en génération.
« Je refais également des modèles perdus ou introuvables », ajoute Marie-Jean qui œuvre, au départ, sur un logiciel et utilise beaucoup Internet pour commercialiser ses créations sur son propre site ou sur des sites relais.
L'entreprise M Peluches fournit aussi plusieurs boutiques de l'hexagone et honore parfois de grosses commandes, à l'image de ces soixante-dix mascottes géantes fabriquées ces dernières semaines pour une marque de jouets.
« Je fais tout moi-même à la main, j'utilise seulement une petite presse », précise sa responsable qui utilise même, à la demande, des matières issues de la culture biologique.
Sa présence ce week-end au marché de Noël franco-allemand, organisé sous la halle de la Grenouille par le comité de jumelage Ulm-Wiblingen, lui permet d'exposer un échantillon de modèles. Des doudous bien sûr, mais aussi quelques nouveautés dont des lapins, des moutons, des ours en peluche et des sacs à bisous qui reflètent l'étendue d'un catalogue en perpétuelle évolution.
Article de Jean-Michel Bonnin
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"L'Echo du Berry"
Cette jeune femme originaire de l'Aube travaille chez elle à Argenton. Son salon fait office d'atelier tandis que le garage sert à stocker les matières premières..
Marie-Jean Simon a créé son entreprise pour réaliser son rêve : créer et fabriquer ses propres peluches. Après un Bac arts appliqués obtenu en 2002 au lycée de-Gaulle de Chaumont, en Haute-Marne, elle a poursuivi des études dans le vêtement jusqu'à l'obtention d'un BTS industrie des matériaux souples à Sainte-Savine, dans son département natal de l'Aube.
Elle intègre ensuite le groupe Jemini à Écomoy, dans la Sarthe, pour une formation complémentaire de deux ans sur le patronage de jouets en peluche. L'année 2007 est un premier tournant dans sa vie professionnelle :
« J'avais envie de me tourner vers l'artisanat. Le déclic est venu lorsque j'ai trouvé une peluche des établissements Blanchet.
J'ai envoyé mon C.V. Je n'y croyais pas quand M. Blanchet, qui partait à la retraite, m'a appelé.
Il cherchait une modéliste ! J'ai été embauchée avec un CDI en janvier 2008. » Cette expérience enrichissante se termine, hélas, par un licenciement économique en décembre 2010. Une autre idée germe alors : créer sa propre entreprise. Avec un contrat de transition professionnelle et l'aide du Pôle local d'économie solidaire de Châteauroux, elle rejoint la couveuse d'entreprises et commence son activité en mode réel en septembre 2011. Depuis cette date, elle travaille chez elle, dans sa maison. Le salon est occupé par l'atelier et les produits finis, le garage par les matières premières.
Articles dans
"La nouvelle république"
Marie-Jean Simon fabrique depuis peu des peluches dans sa maison du Merle-Blanc. Elle présente ses créations au marché de Noël.
La maison de Marie-Jean Simon est un véritable atelier de confection. Des machines, des tissus, des produits finis occupent le salon, et une partie de la matière première est stockée dans le garage. La jeune femme vit la situation avec le sourire, car, depuis le mois de septembre, elle exerce à son propre compte le métier qui lui plaît.
Au Ples, le féminin l'emporte sur le masculin.
Le Ples, c'est masculin. Mais jeudi après-midi, dans les locaux castelroussins du Pôle local d'économie solidaire situés à la pépinière d'entreprises, le féminin l'emportait très largement. On y retrouvait Valérie Mairet, spécialisée dans la sellerie et maroquinerie. Mais aussi Patricia Girard, formatrice en français et en langues étrangères. Sans oublier Murielle Ciliento, d'Ambrault, « patineuse » sur meubles et objets décoratifs; Annie Martinat, spécialisée dans l'animation; Gaelle Bienvenu qui fait de la location et de la vente d'hébergement atypique. Quant à l'Argentonnaise, Marie-Jean Simon, elle s'est lancée dans la réparation et la fabrication de doudous.
Indre - Argenton-sur-creuse
Des jouets en peluche et des doudous pour Noël
Les créations ludiques de Marie-Jean Simon ont leur place au marché de Noël franco-allemand, elles sont même floquées Made in France.
Son stand est l'un des pôles d'attraction du marché de Noël franco-allemand d'Argenton-sur-Creuse qui réunit depuis hier soixante-dix exposants, sous la halle municipale de la Grenouille. Les jouets en peluche et les doudous font d'excellents cadeaux pour les fêtes de fin d'année. Surtout quand ils affichent Made in France, un label devenu de plus en plus rare, revendiqué haut et fort par Marie-Jean Simon.
Des créations personnalisées.
La jeune femme a été modéliste chez Blanchet Peluches, avant de s'installer à son compte, en septembre 2011 : « J'ai débuté modestement, dans mon salon, avec le statut d'entrepreneur à l'essai. Mon activité, soutenue par la couveuse d'entreprise, et mon chiffre d'affaires, ont régulièrement augmenté. Je ne dégage pas encore un salaire, mais j'espère me lancer définitivement au mois de mars. » En attendant de concrétiser ce beau projet, Marie-Jean Simon a aménagé un vrai atelier dans son garage et une brodeuse a même rejoint la machine à coudre, la bourreuse, et le compresseur qu'elle utilise au quotidien. Son site internet lui amène l'essentiel de sa clientèle. « Les gens cherchent de la fabrication française et je figure dans les premières pages des recherches. J'ai déjà eu des commandes de clients suisses, belges et norvégiens. » Du travail souvent sur mesure pour les personnes qui veulent s'offrir un animal en peluche ou un doudou très personnalisé. Marie-Jean, qui dispose d'une palette étendue de tissus et de couleurs, effectue aussi beaucoup de réparations. « Certains jouets ne ressemblent plus à rien, mais ça montre vraiment qu'on tient à eux ! » Et celui qui s'arrête sur son stand retrouve à coup sûr son âme d'enfant.
Marché de Noël franco-allemand, de 9 h 30 à 20 h, sous la halle municipale de la Grenouille. Entrée libre.
Jean-Michel Bonnin
Indre - Châteauroux - Tendance Boutique à durée déterminée
une boutique éphémère a été inaugurée, cours Saint-Luc; elle restera ouverte trois mois seulement. Un tremplin de choix pour dix entrepreneurs.
Collectif et original. Voilà les adjectifs qui semblent le mieux qualifier le concept de la boutique éphémère qui a été inaugurée hier, cours Saint-Luc. Ouverte seulement le temps d'une saison – du 20 mars au 22 juin –, elle a pour objectif de mettre en avant l'activité de dix entrepreneurs issus du Pôle local d'économie solidaire (Ples).
Attiser la curiosité
« L'idée est avant tout de promouvoir l'esprit collectif et de prouver qu'ensemble, on est plus fort. Mais c'est aussi l'occasion d'offrir une belle vitrine à chacun des participants au projet, en lui offrant un espace de choix pour développer son activité. Chaque semaine, l'un d'eux sera mis à l'honneur grâce à de nombreuses animations », précise Paola Tisseur, directrice du Ples. Dans les locaux de ce concept original, stands de bijoux, de peluches ou de tricots, fréquentent alors les offres de services, de dépannage ou encore de secrétariat. Une mixité positive, selon les entrepreneurs. « Je pense que la boutique éphémère va attiser la curiosité des gens. Venus par une activité en particulier, ils seront peut-être intéressés par les stands voisins. C'est une bonne chose. Personnellement, je suis très contente de participer à ce projet commun », témoigne Céline qui vend des pierres et des minéraux.
Chaque entrepreneur aura donc trois mois pour séduire les clients de cette boutique qui représente « un levier et une étape supplémentaire primordiale », conclut Jacques Dudan, administrateur au Ples.
En somme, ils devront, comme tout le monde, faire en sorte que leur expérience à durée déterminée se transforme en un projet longue durée.
Kristen Poels